Donald Trump, un égoman dangereux à la tête de l’Exécutif américain

 

L’heure est à la fois historique et grave, les amis ! Certains officiers supérieurs et généraux américains sont inquiets de la santé mentale de leur commandant en chef, le président Donald Trump. Ce dernier a donné l’ordre de mobiliser les forces stratégiques nucléaires en direction de la Fédération de Russie. Cela en réponse à un tweet sur X de l’ancien président russe et vice-président du Conseil de sécurité nationale Dimitri Medvedev critiquant la rhétorique d’ultimatum du président Trump à la grande Russie. Je suis dans l’obligation de m’occuper aujourd’hui du président américain Donald Trump au pouvoir seulement en janvier 2025 et déjà fait l’objet de jugement défavorable à la tête de son pays. Depuis sa prise de fonction, j’ai placé pendant six mois le président Trump dans un droit de bénéfice de doute au sujet de sa personnalité dysfonctionnelle. Il peut annuler mon visa américain quasi permanent, je m’en fous! La prochaine Administration après lui le rétablirait. Donald Trump a fait une campagne présidentielle en nouveau Martin Luther King, prix Nobel de la paix 1964 - Photo 1, pour Faire de l’Amérique à Nouveau Grande - en anglais Make America Greate Again - MAGA. Utiliser les forces productives intérieures en vue de la reconstruction de l’économie et de la cohésion nationale tout en contribuant à la réinstauration de la paix mondiale pour qu’enfin chacun des 193 pays de l’ONU s’occupe de son processus de développement durable par le commerce, le libre échange sur une planète tout de même menacée par un changement climatique de nature apocalyptique. 

 Photo 1 : Statue imposante de Martin Luther King (1929-1968) à Washington DC, à l’image du charismatique leader afro-américain 


 Source: Ressources personnelles.

Le président Donald Trump, au fur et à mesure que le temps passe, le monde entier découvre son vrai visage belliciste bien que déclaré candidat au prix Nobel de la paix. En effet, il reprend à l’identique le profil classique d’un président américain incarnant toujours la guerre depuis Georges Bush père, même en pire. Le vendredi 1er août 2025, sur simple échange verbal indirect via différents réseaux sociaux, à savoir Dimitri Medvedev sur X et Donald Trump sur Truth social - Photo 2, échange assez corsé, le président américain a piqué une colère noire au point d’ordonner subitement le déploiement de deux sous-marins nucléaires au nez de la Fédération de Russie. Qu’est-ce que cela veut dire ?

Photo 2 : Le président américain Donald Trump, à gauche et le vice-président russe du Conseil de sécurité Dimitri Medvedev, à droite


Source : https://www.7sur7.be/monde/le-torchon-brule-entre-trump-et-medvedev

Alors nous vivons de nouveau des temps imprévisibles après la guerre de douze jours: Israël + États-Unis contre l’Iran du 13-24 juin 2025. Malheur aux pays qui n’ont pas d’armées dignes de ce nom et comptent sur une paix incertaine. Malgré la position de la Russie de première superpuissance nucléaire triadique au monde avec une autre avancée significative dans la sphère hautement létale d’armes hypersoniques, les États-Unis ont le courage de menacer ce pays devant le monde entier. Comment un président américain normal peut-il défier directement la souveraineté nationale et territoriale d’un monstre incommensurable dans le domaine militaire comme la grande Russie? Voilà la question principale que le président Trump nous pose aujourd’hui après commission des faits belliqueux mettant en danger la sécurité collective.

1 - Le président Trump, un ignorant volontaire en dépit de son statut socio-économique et professionnel très élevé

Avant l’analyse factuelle proprement dite relative à la provocation militaire du président américain Donald Trump, rappelons que le raisonnement scientifique reste à la portée de tous via les travaux universitaires, de recherche et de consultation que les personnes publiques peuvent commanditer. Pour disposer des avis techniques fondés, sourcés et documentés en vue d’éclairer leurs décisions politiques. La Connaissance scientifique constitue véritablement le quatrième pouvoir à côté de l’Exécutif, du Législatif et du Judiciaire. Tous les pouvoirs publics Gouvernement - Parlement - Justice en séparation constitutionnelle nécessaire ont besoin des avis réguliers des experts, donc du quatrième pouvoir symbolisée par l’Université avant toute prise de décision majeure par tout grand serviteur de l’Etat. C’est par ignorance volontaire que l’autorité publique cumule maladroitement l’avis nécessaire de l’expert et son propre avis souvent subjectif, au nom du fait que lui-même, peut-être président, ministre ou directeur ayant été instruit, par exemple au niveau universitaire prétend connaître ou comprendre le domaine de la mission républicaine. Erreur! Deux, plusieurs avis ou intelligences valent qu’un seul avis ou encore une seule intelligence. Comme les décideurs publics n’arrivent pas à comprendre cela, raison pour laquelle leurs pays tournent en rond dans la pauvreté ou le conflit selon l’espace. Alors que le droit public positif impose dans les affaires de l’Etat la consultation et l’avis de l’expert avant toute prise de décision importante.

En réalité la recherche ou tout simplement le raisonnement scientifique sert à établir le lien de cause à effet entre phénomènes qu’on peut à la fin reproduire au moyen de la connaissance de la loi régulière découverte par cette recherche et l’appliquer ainsi par la suite à d’autres facteurs pour la production de bienfaits au service de l’humanité. Concrètement le raisonnement mathématique par exemple, s’emploie pour découvrir la logique dun système dobjets, dune structure en vue des opérations et applications diverses. Le raisonnement juridique quant à lui, permet de déterminer la responsabilité de la cause des effets entre deux parties dont l’une auteure de l’infraction si c’est le cas, assumerait les conséquences civiles ou pénales. L’application du raisonnement relatif aux divers marchés sert à monter les contrats et accords entre personnes, nations, pays. Le raisonnement politique comme art d’Etat établit la régularité constitutionnelle et légale des actions publiques pour assurer sécurité, bien-être, protection et croissance de la population sur un territoire. En raisonnement stratégique, qui devient beaucoup plus une vue globale, celui-ci cherche ladéquation plan-vision objectée à assurer avec des ressources confrontées aux menaces, le tout dans la logique toujours de moindre coût possible. Au sujet maintenant de la guerre, le commandant en chef, donc le président doit avoir la connaissance suprême de celle-ci via ses stratèges, ses experts militaires dans un but de comment éviter la guerre ou la mener en cas d’extrême nécessité existentielle, la gagner par des moyens conventionnels et non nucléaires qui provoquent l’anéantissement physique de l’ennemi et simultanément l’autodestruction par suicide collectif. Le programme « main-morte » soviétique et aujourd’hui russe, dont parle Dimitri Medvedev et qui énerve visiblement Donald Trump, illustre un système de riposte nucléaire cybernétique et automatisé destiné à répondre instantanément contre l’ennemi ayant réussi la décapitation de la hiérarchie de commandement des forces interarmées stratégiques de la Russie. L’ignorant volontaire président Trump est averti! S’il a cette intention criminelle en déployant les deux sous-marins nucléaires en direction de la grande Russie pour un acte de guerre de folie de ce type, qu’il se ravise! Dans un cas de figure même de guerre folle trumpienne, une victoire à partir d’une telle opération militaire ne servirait plus du tout au vainqueur qui disparaît en même temps avec le vaincu létalisé dans le paradigme finitudinal stratégique russe planifié justement si jamais un conflit du genre éclatait entre superpuissances nucléaires.

Je reviens maintenant sur l’intérêt de la recherche scientifique ou de l’avis des experts avant toute prise de décision majeure par une structure exécutive comme celle de l’Administration Trump. Pourquoi a-t-elle ordonné le déploiement de deux sous-marins nucléaires contre la Russie en réponse à un simple message verbal même critique à son endroit? Pense-t-elle que l’occasion lui est offerte pour surprendre la grande Russie? C’est pourquoi une question ultime se pose: le président Trump est-il au courant de la « main-morte » russe? Moi je ne sais pas! Cependant j’avance l’hypothèse selon laquelle, s’il avait eu un briefing d’un expert militaire, Donald Trump aurait une conclusion focale de l’inutilité du déploiement des engins nucléaires en direction de la Russie. Point barre!

Malgré la disponibilité abondante des raisonnements scientifiques dans certains domaines du savoir invoqués précédemment, l’on se demande sur quelle planète vit le président Trump pour ne pas tirer profit des résultats analytiques de tous genres disponibles à lui servir avant d’agir? Je dis souvent aux étudiants que le problème en ce qui concerne tout réel quelconque conflictuel à résoudre, ce n’est pas l’ignorance, mais qu’est-ce qu’on fait lorsqu’on ne sait pas? Ma propre mère n’a pas eu la chance d’aller à l’école en son temps où l’instruction publique était plutôt réservée aux garçons dont mon père plus chanceux. Mon papa étant décédé, paix à son âme, je me suis entendu avec ma maman ainsi : lorsqu’elle se sentirait mal, c’est-à-dire malade, qu’elle se précipite vers le centre médico-social pour voir l’infirmier d’Etat ou le médecin, ce dernier venant de la ville, est disponible seulement quelques jours par semaine dans mon village au service de la population. Et moi à 450 km d’elle, j’ai le devoir de m’occuper à régler la note du traitement médical. L’ignorance s’efface devant la connaissance qui guérit la victime; la dernière demeure accessible à tous si la personne a l’humilité du comportement convenable. Voilà le problème numéro un - 1 de beaucoup de personnes qu’elles soient publiques ou privées ou encore physiques ou morales sur la planète Terre. Ces personnes se retrouvent souvent dans un contexte de retournement de situation contre leurs propres actions ignorantes par effet boomerang.

Pour le cas des personnes publiques ayant la faculté de nommer autant de conseillers voulus ou carrément commanditer les avis des experts avant toute action majeure avec possibilité d’application de la tactique de parallélisme, c’est-à-dire sur une question unique, l’autorité publique peut demander en même temps l’avis de plusieurs experts différents qui ne se connaissent pas. La pratique est connue dans les régimes politiques démocratiques, aristocratiques et modernes. Ce qu’on ne comprend pas, comment le processus décisionnel de l’Exécutif américain peut-il se permettre de se tacher de biais par rhétorique d’intimidation venant de son chef en train de donner une réponse militaire de déploiement de sous-marins nucléaires à un simple message verbal d’une personne sans pouvoir réel dans l’appareil gouvernemental russe? La régularité légale du fonctionnement de l’Administration Trump se trouve contestable dans la mesure où les États-Unis sont une démocratie constitutionnelle à reconnaître responsable par la proportionnalité de réponses au camp adverse, donc parole contre parole, projet contre projet, programme contre programme, politique contre politique, stratégie contre stratégie et non la menace directe de chaos pour faire peur à l’adversaire. Quel enfantillage psychologique? Si cela se passe autrement, l’individu finalement ne s’appartient plus, il est l’objet de forces occultes loin de la rationalité de la pratique du pouvoir suprême. Nul n’a besoin d’apprendre aux élites politiques d’employer les sciences, connaissances, savoirs et valeurs pour résoudre les problèmes intérieurs du pays et ceux sur l’échiquier international. Le monde va mal depuis que les masses médias traditionnels sont privatisés sous l’égide du capitalisme mondial sans foi ni loi au service des États profonds. Partout la fameuse minorité pilleuse qui détient secrètement les leviers réels du pouvoir au détriment de l’intérêt général de la majorité du peuple, les médias alternatifs se lèvent et se développent vigoureusement pour faire face à la dépravation des mœurs politiques. Je salue l’œuvre et l’engagement souvent au prix de leur vie des savants civils et militaires bien décidés à éclairer l’Humanité par interventions régulières édifiantes sur les médias parallèles. Il s’agit des professeurs chevronnés comme Theodore Postol, Jeffrey Sachs, John Mearsheimer, Glenn Diesen, Mohammad Marandi; des colonels de l’armée tels Jacques Baud, Douglas Macgregor, Scott Ritter; des personnages en qualité du juge Andrew Napolitano, de l’ambassadeur Chas Freeman, des personnalités à l’image de Andreï Martianov, Pépé Escobar, Larry C. Johnson, Idriss J. Aberkane, Jean-Luc Mélenchon, Alex Krainer, Tucker Carlson, Ray McGovern, Nima R. Alkhorshid, Pascal Lottaz, Michel Collon, Ruffin, Viclère Mabiala, François Martin, Franklin Nyamsi Wa Kamerun, etc. Certains d’entre eux dénoncent clairement le zigzagisme de politique étrangère du président Trump très nuisible à la stabilité mondiale.

2 - La perfidie du président Donald Trump 

Le président Trump ressemble à ses ancêtres, en particulier une certaine élite anglaise, reconnue en Occident exceller dans l’art de la perfidie dans le monde des affaires. La perfidie consiste à dissimuler ou masquer ses vraies intentions malveillantes sous couvert d’apparence trompeuse de sincérité, de l’heure de la diplomatie et de la négociation, le temps d’endormir l’adversaire et le frapper ensuite subitement dans une réaction éclair de coup d’épée dans le dos. Elle est punie par la loi. La guerre-éclair que l’Iran a subie en juin 2025 dernier démontrait que les Iraniens connaissaient mal les dirigeants anglo-saxons à différencier des populations qui sont bien gentilles et adorables. Leurs gouvernements apparaissent perfides par nature au dessus du peuple travailleur, de bonne volonté et croyant. Il ne faut jamais faire confiance à un gouvernement anglo-saxon que beaucoup dans le monde finissent par imiter. J’ai eu la chance de voyager en Angleterre - Photo 3 pour que les amis anglais très accueillants me confirment pendant de longues discussions de nuit autour de la bière ou du vin et du bon repas, ce caractère de civilisation dans les activités politiques, économiques et stratégiques du Royaume Uni, des États-Unis…

Photo 3: L'auteur sur une rue de Londres


Source: Ressources personnelle.

Je profite pour donner des exemples précis: la Fondation ou le Think tank de l’ancien premier anglais de 1997 à 2007, ce loser complet dans l’affaire de l’invasion de l’Irak en 2003 - entre parenthèses nous vivions inquiets en France en ce moment, je veux dire Tony Blair en collaboration avec le puissant service de renseignement du Royaume-Uni, le MI6, s’occupe au fait selon plusieurs sources de la planification des complots internationaux à travers la planète Terre par tactique du chaos programmé au moyen de l’aventurisme militaire, de plan machiavélique de dévastation de certaines régions comme le Moyen-Orient, des exacerbations de conflits partout comme en Ukraine, du soutien inconditionnel aux régimes autoritaires très soumis à l’Occident, etc. Dans quel but? Rétablir l’empire britannique! Ne vous pressez pas s’il vous plaît, je m’occuperai de l’ancien premier britannique Tony Blair bientôt. Il est en ligne de mire de mes observations stratégiques. Mes souvenirs et recherches ne sont pas encore au point. J’anticipe tout de même pour annoncer que ce premier ministre incarne la perfidie anglaise, côté élite qu’hérite aujourd’hui le président Trump dont l’acte initial après prestation de serment en janvier 2025 a consisté au revirement spectaculaire de sa doctrine pacifiste véhiculée à travers le MAGA. La rupture brutale de confiance quelle qu’elle soit - même gravée dans le marbre, je vous préviens, est dans le propre des gouvernements anglo-saxons qui considèrent par méchanceté humaine sur autrui les autres peuples comme inférieurs surtout lorsqu’ils n’arrivent pas à soumettre ceux-ci à leur domination. Si cela ne marche pas la dernière tactique anglo-saxonne revient à provoquer le dysfonctionnement des sociétés tierces par violence programmée, terrorisme et plus soft par l’endettement, les crises économiques, etc. Londres est un aimant attirant toujours des régimes politiques faibles, vomis de la terre livrant tout ce qu’on leur demande et se liant à l’endettement sans fin en contrepartie de la protection de l’OTAN à la perte de leur peuple. Voilà la réalité historique factuelle au détriment des masses mal croyantes. Point à la ligne! 

Après la chute de l'URSS en 1991, un accord, même fut-il verbal parce que la parole donnée étant sacrée, existait entre les États-Unis et la Fédération de la Russie pour le respect strict de l’équilibre des deux superpuissances. C’était mal connaître les élites anglo-américaines! En dépit de la promesse de non élargissement de l’OTAN vers l’Europe de l’Est, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord dirigée en réalité par les gouvernements anglo-saxons, s’est élargie en plusieurs vagues successives jusqu’à l’intégration au nez et à la barbe de la Russie de seize pays européens dont les plus connus sont : Pologne, Hongrie, République tchèque, Roumanie, Bulgarie et tout récemment la Suède, enfin la Finlande que j’ai eu la chance de visiter. Les perspectives futures de l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie constituent l’une des causes majeures de la guerre actuelle dans le premier pays après celle intervenue dans le second en 2008. Là les Russes ont dit niet! La sécurité demeure un patrimoine commun de l’humanité, donc indivisible. Aucun Etat au monde ne peut la manipuler au préjudice des autres États.

Faut-il continuer par énumérer presqu’exhaustivement les faits perfides du président Trump ? On se rappelle en 2018 pendant son premier mandat que d’un coup de tête, il annonça la rupture brutale et unilatérale de l’accord nucléaire iranien négocié laborieusement durant plusieurs années par le président Barack Obama, un autre Judas Iscariot, grand traître des Africains. Puis en janvier 2020, le président Trump procède à l’assassinat sauvage du puissant général iranien Qassem Soleimani en visite de travail dans un pays tiers notamment l’Irak. Ce général d’armée représentait le stratège en chef de l’architecture globale de la suprématie de l’Iran au Moyen-Orient. Tout récemment la guerre Israëlo-américaine de douze jours contre l’Iran à quarante-huit - 48 heures d’un nouveau round de négociation avec les États-Unis sur le nucléaire iranien, constitue le summum de la perfide trumpienne. Plusieurs autres trahisons non moins importantes jonchent déjà son début de mandat présidentiel : retrait de nouveau de son pays de l’UNESCO en juillet 2025 et de l’OMS depuis janvier 2025, rupture avec l’accord de Paris sur le climat, démantèlement de l’aide internationale pour le développement, sanctionnalisme économique désordonné, imposition de droits de douane exorbitants contre presque tous les pays exportateurs vers les États-Unis, négation du multilatéralisme, mise des relations internationales sous pression maximale, interventionnismes chirurgicaux au Yémen et en Syrie, application de la surprise de décapitation de la chaîne de commandement militaire et Exécutif des pays comme la Syrie avec succès et l’Iran sans succès, application de politique du prétexte pour faire mal aux pays tiers, ultimatummisme, etc. Le monde semble averti des nombreux actes perfides du président Trump. Faut-il le savoir, le criminel revient toujours sur ses pas en chemin vers le lieu de l’infraction. Les russes connaissent le caractère final des dirigeants anglo-saxons, à ne pas confondre avec leurs peuples qui demeurent merveilleux tout autour du travail, du bon cadre, du bon repas, du bon vin et de la bonne bière.

3 - Un quasi déséquilibré à la Maison Blanche

Le président Lula da Silva disait de Donald Trump qu’il se prend pour un souverain, un empereur. C’est le moins qu’on puisse dire de l’individu qui remplace aujourd’hui la coopération internationale par la coercition maximale et la mise sous tutelle des pays faibles sans moyens de dissuasion. Ses propres officiers supérieurs et généraux le traitent de quasi déséquilibré mental. On se demande qui est le moteur du président Trump, la Constitution américaine ou sa psychologie pathétique ou encore sa femme Melanie Trump qu’il n’a pas hésité à mettre en scène par déclaration flatteuse à l’égard du président Poutine. Tout récemment contre toute attente en effet, il sort sa femme Melania Trump de son foyer pour affirmer qu’elle apprécie le président Poutine. Mon œil! Ça veut dire quoi en relations internationales? Sinon de flatter l’égo de l’Epoux de la Russie que je nomme Stratège Poutine. Je ne comprends pas l’obsession du président Trump au sujet de son homologue Vladimir Poutine. Veut-il le tendre un piège pour l’éliminer? Il y’a la « main morte » en épée de Damoclès! Chacun n’a qu’à s’occuper de ses affaires domestiques. Pourquoi le matin il fait l’éloge de Vladimir Poutine puis le soir venu, le même le charge de tous les maux dont souffre l’Ukraine, cette bandériste et traîtresse du grand peuple slave. Capitulation sans conditions ou rien revient toujours comme dogme intangible de la doctrine militaire russe de fin de guerre existentielle.

En outre, la Fédération de Russie ayant de meilleurs scientifiques aussi en psychologie, le président Trump est déjà psychiatrisé et placé sur le fichier S, c’est-à-dire suspect en relations internationales avec un tableau descriptif négatif en aucun cas inspirerait confiance aux dirigeants russes, en particulier le Stratège Poutine. Point barre! La logique de cessez-le-feu, d’escalade et de désescalade en même temps pendant une guerre réelle de haute intensité comme celle de l’opération spéciale en Ukraine est un leurre pur. J’ai déjà intervenu sur comment mettre définitivement fin à la guerre russo-ukrainienne par le lien suivant - https://sohoualeza.blogspot.com/2025/03/russie-ukraine-paix. Le style de négociation pratiquement nul du président Trump ne peut dérouter que quiconque n’est pas préparé à défendre et servir à tout prix son pays. Donald Trump pense endormir le président Poutine, comme il a réussi à tromper la vigilance des généraux iraniens qui ont baissé finalement les bras pendant les temps de négociation de paille. Cela a facilité le déclenchement de la guerre éclair des douze jours de juin dernier et l’assassinat barbare de plusieurs scientifiques du nucléaire et de meilleurs généraux de l’armée Iranienne qui s’est ressaisie en urgence pour éviter au pays la décapitation pure et simple de la chaîne de commandement de l’Exécutif persan. N’eut été cette force unique de résilience d’une armée expérimentée probablement par la longue guerre Iran-Irak de 1980-1988, le deuil de la fin de la République Islamique de l’Iran serait actuellement du passé.

Le président Trump a une tactique de négociation unique en son genre, de forme et de fond  désordonnés et incongrus. Je reconnais qu’il soit nanti, riche mais volontairement très rustre et inculte vis-à-vis de sa responsabilité de chef de l’Exécutif d’une superpuissance économique et militaire. De la guerre réelle à haute intensité aux négociations manu militari, il n’y a aucune ligne de démarcation, de frontière, tout est mélangé dans sa psychologie sans que l’autre partie ne s’en rende compte. Des ultimatums à tout va de n’importe quelle direction sans respect des pays tiers même militairement plus puissants que son pays, cas de la Fédération de Russie. Une rhétorique disproportionnée faisant allusion souvent au nucléaire contre la Corée du Nord durant son premier mandat. Souvenons-nous de l’affaire de gros bouton rouge disponible dans le bureau ovale de la Maison Blanche. Puis récemment déploiement subit des sous-marins nucléaires ce vendredi 1er juillet 2025 dans les zones appropriées proche de la Russie en réponse à un message verbal d’un citoyen russe sans réel pouvoir. La situation générale des événements coïncide avec son implication présumée comme usager des services criminels de Jeffrey Epstein aux États-Unis. Lance-t’il une digression à la fois de mauvais goût et dangereux, aux américains pour qu’ils oublient l’affaire Epstein? Je ne sais pas! Naguère en janvier 2025, le même président Trump menace d’annexer le Groenland un territoire décentralisé du Danemark, puis conquérir le Canada, puis encore prendre militairement le Canal du Panama qui figure au milieu du continent américain. Oh je suis fatigué!

Conclusion exécutive

Voilà la litanie de trahisons du peuple américain par son 45 ème et 47 ème président en face du monde témoin des faits. Le deuxième mandat présidentiel de Donald Trump entre dans une phase d’incertitude stratégique. L’activation rigoureuse des contrepouvoirs institutionnels s’impose immédiatement aux États-Unis pour limiter les activités dangereuses de l’actuel Exécutif. L’improvisation quotidienne de l’Administration Trump dans une logorrhée parfois belliqueuse inquiète tous les observateurs de la vie politique américaine. Son monologue sur le réseau Truth social personnel déshonore une nation autoproclamée comme première démocratie du monde où le débat indépendant, neutre et contradictoire a disparu au niveau des institutions clés de la nation. Le temps ne lui a pas apporté de la profondeur, de la stabilité émotionnelle, de l’art de la subtilité, d’auto-contrôle des émotions qui coulent à flot chez lui dans un format solitaire d’exercice de pouvoir très néfaste non seulement pour ses concitoyens, mais les pays tiers immédiats et le monde entier. Né avec une cuillère en argent dans la bouche, ne démarque pas une personne. Un fils à papa ayant grandi dans les palais, le luxe et n’a jamais appris à travailler jusqu’à l’épuisement, n’impressionne jamais. N’ayant pas de pouvoir sur son propre esprit, le contrôle républicain de contrepoids institutionnel protègera l’Amérique d’une descente subite en enfer. 

Concernant les dérapages récurrents de la classe politique américaine sur la Russie multimillénaire, je veux leur adresser un dernier avertissement : ayant étudié l’histoire russe en programme scolaire puis universitaire, ce peuple à plusieurs mémoires historiques, m’a marqué surtout par sa résilience singulière pendant la Deuxième Guerre mondiale. La victoire militaire de la Russie sur les démons du nazisme l’a coûtée 27 millions d’hommes. Par conséquent, le peuple russe se trouve forgé dans le courage surhumain sans bornes, dans les sciences, connaissances, savoirs, valeurs, traditions, dans la sueur coulant malgré le climat sibérique connu, dans le sang, la terre, la glace, le temps, l’espace et la foi. Que peut-on contre un peuple d’élite pareil? Je conseille le gouvernement américain d’abandonner son ignorance volontaire, sa perfidie pour marquer une rupture historique négociante et de bonne foi avec la Fédération de Russie en vue d’un monde meilleur.


ALEZA Sohou, Université de Lomé

 

 

 

 

 

 

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