L'Empire du mensonge



Introduction : Lorsque que j’étais étudiant, j’admirais le président américain Ronald Reagan comme acteur majeur dans l’excellence de l’activité politique. Par ses discours, déclarations, interviews et actes, il nous a lavé le cerveau pour désigner les USA comme un pays de rêve et de bien surtout contre l’URSS que lui-même qualifiait d’Empire du mal. Aujourd’hui avec un peu de recul basé sur l’analyse de la documentation politique, des faits historiques et de statistiques de guerres, les mémoires des grands hommes d’Etat, la réminiscence de la chronologie de l’actualité mondiale, j’ai changé d’avis. Les USA ne constituent pas un Empire de bien, mais un Empire du mensonge et j’apporterai des preuves de ma position actuelle. Cependant citoyens du monde, ne soyons pas naïfs ; je ne pense pas du tout qu’un Empire du bien aurait existé sur la planète à une période ou l’autre de l’évolution historique des civilisations humaines. Si l’URSS a traversé son purgatoire pour se muter en Fédération de Russie en 1991, c’est le tour des USA de traverser leur enfer par auto-démantèlement pour se transformer en une Union Américaine beaucoup plus responsable à la face du monde. Cela dans une nouvelle Société Mondiale forcément multipolaire encadrée par une Charte des Nations beaucoup plus contraignante. Lorsque vous observez les activités politiques du gouvernement des États-Unis depuis 1980 à nos jours, période d'observation et d'analyse, celui-ci semble employer le contribuable de ses citoyens que pour la planification des opérations de nuisance contre les intérêts des pays étrangers en invoquant souvent des motifs abstraits propres à l’interprétation aléatoire entre autres la sécurité nationale, le développement de la démocratie dans le monde, la promotion des droits de l’homme, la protection des libertés fondamentales, etc.


1 - Un distinguo préalable : ne pas confondre peuple américain et gouvernement américain

Je distingue bien le gouvernement américain et le peuple américain beaucoup plus libre, entrepreneur et croyant. Notre problème c’est le gouvernement américain. Après traitement et analyse des données relatives à la période historique couvrant de 1980 à 2025 au sujet d'une variable unique, à savoir « l’acte de guerre », une constance régulière se dégage : chaque président américain a une guerre à provoquer, à déclencher et à mener, une fois élu par son peuple comme chef de lExécutif. Je découvre que la Maison Blanche que j’ai eu la chance de visiter - photo 1 n’est pas au fait le siège du gouvernement américain, mais un État-major général de guerres permanentes ou encore une Centrale de gestion des crises internationales les unes plus graves que les autres. 


Photo 1 : L'auteur devant la Maison Blanche à Washington DC


Source:
 Ressources personnelles.


Et tout le Capitole américain souvent bipartisan, c’est-à-dire l’ensemble du Congrès –chambre des représentants + sénateurs au pouvoir ou à l’opposition, s’aligne automatiquement derrière le président, son commandant en chef lorsque celui-ci décide de mener une guerre contre un pays étranger. Cependant s’il s’agit pour les membres du Congrès de s’entendre sur les intérêts vitaux de leurs propres concitoyens, c’est-à-dire les Américains, ils se chamaillent au palais là-bas - photo 2 à longueur de journées, de semaines et de mois sans consensus. L’assurance maladie universelle au bénéfice des Américains constitue un exemple historique parmi tant d’autres comme sujet de controverses juridiques et politiques jamais résolu correctement dans l’intérêt des citoyens. Tout se passe comme si le Capitole et la Maison Blanche n’ont que deux compétences publiques : l’impôt et la guerre. L’imposition et le recouvrement de l’impôt aux Etats-Unis servent presque qu'exclusivement pour la cause des guerres. A la face du monde, ce personnel politico-pathétique se distingue par son penchant au conflit létal direct et au sanctionnalisme économique contre des Etats souverains ou s'affirmant indépendants, cela en manipulant en dessous les forces armées américaines plus leurs services de Renseignement. Ainsi pas d’accord bipartisan facile entre pouvoir et opposition pour les intérêts quotidiens des citoyens américains, mais entente rapide lorsqu’il s’agit d’une guerre à déclarer contre un pays étranger. 


Photo 2 : L'auteur devant le Capitole à Washington DC


Source: Ressources personnelles.


Conséquences : aucune modération stratégique en considérant la construction de près de 800 bases militaires tout autour du globe terrestre par consécration d’un capital national annuel de près de 1000 milliards de dollars de budget pour la Défense des USA. Le pays se retrouve finalement bâti sur un puits sans fond, donc abyssal de dette souveraine d’environ 35 milles milliards de dollars. La folie de grandeur de l’Empire du mensonge a besoin d’un électro choc authentique pour revenir à une sorte de rationalité politique. La Fédération de Russie, la Chine et d'autres puissances émergentes se comportent presqu’à l’exemplaire pour ramener sur Terre les Etats-Unis qui continuent de pratiquer sans cesse des relations internationales à haut risque d’effondrement subit et sans signes précurseurs dignes de prise de conscience nationale. Trop longtemps le monde a laissé faire le gouvernement américain toujours à différencier du peuple américain, lui très attaché à sa terre et au travail. En une génération et demi, une vingtaine de guerres les unes plus dangereuses que les autres ont été menées par les gouvernements successifs des Etats-Unis conformément au tableau synoptique sombre rattaché.


Tableau noir de l’Empire du mensonge : de 1980 à 2025


Président

Mandat

présidentiel

Principale guerre ou intervention militaire ou encore guerre par procuration

Raison stratégique d’auto-saisine du gouvernement américain des affaires du monde

 

Ronald Reagan 1er

1981-1984

Invasion de la Grenade, un pays insulaire dans les Caraïbes…

 Au nom de la lutte contre le communisme, les dictatures et régimes totalitaires.

Ronald Reagan 2ème

1984-1989

Bombardement de la Libye ;

Soutien aux moudjahidines du commandant Massoud en Afghanistan contre l'URSS…

Georges W Bush père

1989-1993

Guerre du Panama ;

Guerre du Golfe, du Koweït contre l’invasion du Koweït par Saddam Hussein de l’Irak ;

Opérations en Somalie…                                              

 

Au nom de la défense de l’ordre international.

Bill Clinton 1er

1993-1997

Bombardements permanents en Irak ;

Intervention en Bosnie-Herzégovine ;

Interventions en Haïti ;

Intervention en Somalie… 

 

Au nom de la démocratie, des droits de l’homme et de l’action humanitaire.

Bill Clinton 2ème

1997-2001

Bombardements permanents en Irak ;

Bombardements au Kosovo…

Georges W Bush fils 1er

2001-2004

Guerre d'Afghanistan et chute des Talibans ;

Guerre en Irak, renversement et pendaison du président irakien  Saddam Hussein…                         

 

Au nom de la lutte contre le terrorisme ;

De la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive -ADM ;

De la nécessité américaine de la guerre préemptive ;

De la nécessité américaine de la guerre préventive.

Georges W Bush fils 2ème

2004-2009

Guerre d’Afghanistan ;

Guerre d’Irak ;

Intervention au Pakistan ;

Intervention au Yémen ;

Intervention en Géorgie…                      

Barack Obama 1er

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2009-2012

Escalade et poursuite de la guerre en Afghanistan ;

Frappes permanentes au Pakistan, Yémen, en Somalie, en Syrie…

Stratégie du « dronisme » et du « missilisme » comme nouvelle définition américaine de l’art de guerre pour ne plus perdre des soldats américains sur les champs de bataille.

Stratégie du remplacement des guerres civiles africaines, tendant à disparaître en raison de la maturation des États africains, par le terrorisme en vue de la relance de l’exploitation de l’Afrique. 

Observation en passant :

M. Barack Obama est d’origine africaine ! Voilà le « cadeau » qu’il a fait aux Africains avant de quitter la Maison Blanche.

Barack Obama 2ème

2012-2017

Escalade en Afghanistan

Guerre en Libye ;

Renversement du Colonel Mouammar Kadhafi, Guide de la Révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste ;

Frappes permanentes de drones au Pakistan, au Yémen, en Somalie, en Syrie…

Donald Trump 1er

2017-2021

Frappes en Syrie et en Irak avec l’élimination de Qasem Soleimani, un puissant général iranien ayant conduit à une forte riposte Iranienne contre une base américaine au Moyen-Orient…

Suprématisme américain;    Unilatéralisme; Théorie de la pression maximale; Sanctionnalisme économique écrasant.

Joe Biden

2021-2025

Retrait américain catastrophique, voire chaotique de l’Afghanistan ;

Guerre en Ukraine…

Remilitarisation de l’OTAN face à la Russie et à la Chine, désignées comme ennemies et concurrentes stratégiques de l’Occident.

Donald Trump 2ème

2025-….

Guerre en Ukraine ;

Guerre éclair de douze jours à partir du 13 juin contre la République Islamique de l’Iran…

A qui le tour?

L’Amérique d’abord ;

Stratégies des menaces unilatérales ;

De la Paix par la force ;

Des Intérêts économiques par la guerre si nécessaire.

 

 Source : Aléza Sohou, juillet 2025.


 2 - L’analyse du tableau noir, ses leçons locales et globales à tirer 

Nous avons fini par saisir la gravité de la situation ici-bas dans la mesure où aucun citoyen du monde n’est à l’abri des effets et conséquences de la géopolitique de l’empire américain. Par ses interventions guerrières régulières fondées sur une doctrine stratégique poreuse, les chefs successifs de l’Exécutif américain se sont distingués par une animosité indescriptible à la face de l’Humanité. Leur doctrine militaire et stratégique est une véritable passoire qui ne retient rien comme valeurs et principes de coexistence pacifique avec d’autres États, nations, peuples, civilisations, cultures. Tous les droits supranationaux que les autres pays du monde s’efforcent d’observer ne représentent rien à leurs yeux. L’important c’est leurs propres règles qu’ils édictent à l’égard des autres, à l’endroit des nations étrangères tenus à l’obligation d’obéir sous peine purement et simplement d’anéantissement militaire physique. Le monde a souffert sous l’empire et l’emprise américains et cela doit cesser même au prix d’une Troisième Guerre mondiale en lisant ou écoutant les discours, allocutions, publications doctrinales, dogmes militaires et interventions solennelles des autres dirigeants surtout du Sud collectif. 

Mon père avait raison. Il a quatre valeurs cardinales : la foi, la terre, l’éducation et le fusil. Je l’ai compris un peu tard et je tente de me rattraper. Vous vous imaginez ce que les gouvernements américains ont semé comme désordre international depuis quarante-cinq -45 ans rien qu’à partir de notre période  d'observation et d'analyse sur un seul indicateur sociétal, c'est-à-dire « l’acte de guerre » ! En effet, une vingtaine de pays ont été bombardés, détruits ou militairement anéantis. J’ai quelque chose de personnel à exprimer sur la présente tribune. Moralement, je ne pardonnerai jamais à l’un des présidents américains, d’ailleurs descendant d’un homme libre d’Afrique. Il sagit du président Barack Obama, dont le père est d'ailleurs un Africain, pour avoir procédé à l’importation du terrorisme en Afrique par ignorance volontaire depuis son plan d’attaque et de destruction de l’Etat libyen que j’ai eu la chance de visiter. Le comble de son crime d’Etat : c’est sa complicité d’assassinat sauvage, extrajudiciaire du Colonel Mouammar Kadhafi, Guide de la Révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste que j’ai connu de plus près, environ un mètre de lui lorsque j’étais en Libye. A l’OTAN, le président Obama connaît bien ses coauteurs de l’assassinat perfide du Colonel Kadhafi, coauteurs qui courent encore : il s’agit des anciens président français Nicolas Sarkozy, premier ministre anglais David Cameron et de l’ancienne secrétaire d’Etat américain Hilary Clinton. Aujourd’hui, l’animalisme vit caché, sous couvert de belles modes d’habillement, belles paroles, beaux discours, et dans les magnifiques palais publics et privés. Tenues d’apparat, de luxe, complets vestes, cravates, robes, jupes, pagnes, chaussures, accessoires de luxe, rien que du camouflage pour le rangement civil souvent de la méchanceté humaine distillée en plus par des agents publics qui comprennent avec légèreté le sens de leur ministère ou mission. Aux Etats-Unis, chaque président a sa principale guerre : Trump a sa guerre, l’Iran ; Biden a sa guerre, l’Ukraine ; Obama a sa guerre, la Libye ; les Bush père et fils ont leurs guerres, l’Irak, l’Afghanistan, le Koweït, le Panama ; Clinton a ses guerres, la Somalie, la Bosnie-Herzegovine, Haïti, le Kosovo. Enfin le grand Reagan a eu sa guerre, la Grenade. Voilà la réalité factuelle géopolitique des gouvernements successifs des États-Unis au cours des quarante-cinq -45 ans derrières années.

Je reviens sur la théorie des valeurs cardinales héritées de mon père. Elle s’entend dans l’approche d’abord de la religion et de l’éducation comme forgeant l’Esprit et permettant de maîtriser les sciences, les techniques, les technologies…; ensuite la terre source éternelle des provisions, est l’espace vital produisant des fruits à usiner pour satisfaire les besoins de la vie quotidienne ; enfin le fusil servant au self-défense, à l’auto-sécurité et à la Défense nationale. À défaut, si un tyran se retrouve à la tête du pays, vous faites comment, citoyens pour le chasser du pouvoir absolu? Face à l’ennemi extérieur, l’armement des citoyens à côté de l’armée nationale apparaît important. Si l’impérialisme vous attaque, le droit du peuple de détenir et de porter les armes fait concrètement de lui une armée de réserve déjà préparée pour la Défense du territoire, du bloc géographique quand les forces armées se projettent en conséquence sur de multiples fronts. Vous le savez, les Talibans à pied ont renvoyé les Américains chez eux par de simples fusils de chasse, même pas avec assez de mitrailleuses. Après l’humiliante débâcle des États-Unis en Afghanistan, les Talibans selon certaines sources ont même invité gentiment l’armée américaine à revenir ramasser son impressionnant matériel de guerre abandonné à Kaboul et dans les provinces afghanes pendant sa fuite chaotique sous l’administration Biden -photo 4. En comparaison du retrait historique ordonné d’Afghanistan en 1989 -photo 3 des troupes et du matériel militaire de l’Armée rouge mettant ainsi fin à l’occupation du pays pendant la guerre soviéto-afghane de 1979 à 1989. 


Photos 3 et 4 : Contraste entre retrait en ordre de l’Armée rouge d’Afghanistan en 1989 à gauche et retrait désordonné de l’armée américaine d’Afghanistan en 2021 à droite - Avec montage du tableau comparatif par l'auteur




J’ai encore en mémoire les images de 2021 de la déroute de l’armée américaine dans sa débandade de l’Afghanistan et cela par tous les moyens, terrestres et aériens. Quelle honte! C’est pourquoi de simples fantassins armés de fusils de chasse peuvent remporter la victoire à l’issue d’un conflit quelconque dans la mesure où c’est la cause juste qui définit la cheville ouvrière maîtresse de la stratégie et des tactiques victorieuses, non la bureaucratie militaire de certaines armées suréquipées de l’Occident en plus leur dissuasion nucléaire. L’histoire n’a pas oublié que l’Amérique représente au monde la première nation sans paire, à avoir fait usage indigne des armes nucléaires sur un autre pays notamment le Japon les 6 et 9 août 1945 respectivement sur les villes d’Hiroshima et de Nagasaki. 


Le temps et l’espace sont des coordonnées éternelles de la guerre réelle, existentielle, juste et intrinsèquement faite pour durer. La véritable victoire dans cette guerre prend du temps arrachant les territoires les un après les autres, et consacre le sacrifice pour donner du sens aux combats sur le terrain et à ses résultats qui contraignent l’ennemi à la capitulation. Je vous donne un avant-goût de ce que sera la fin de la guerre russe en Ukraine. Les succès des guerres-éclairs que les armées américaine, israélienne et de l’OTAN brandissent sur des écrans de télévision, celles-ci étant probablement sous influence, j’allais dire en admiration de l’ancienne stratégie militaire constante du Troisième Reich, ne sont que tactiques dans la configuration des batailles provisoires, donc non décisives sur la trajectoire de l’évolution finale du conflit, et de la guerre totale à qui revient vraiment de déterminer son vrai vainqueur.

Tous les peuples à un moment donné ou l’autre de leur histoire auront besoin de l’expérience de la guerre, qu’elle vienne de l’arrachement de l’Indépendance des mains du colonialisme ou de l’impérialisme ou encore de la lutte des citoyens pour mettre fin à un pouvoir absolu dans l’Etat. Détenir et porter des armes sont des droits constitutionnels pour les citoyens dans un véritable Etat de droit qui peut par loi inférieure encadrer ces valeurs au moyen d’une réglementation plus précise. Cela constitue la base de la garantie du droit à la vie, de l’exercice démocratique du pouvoir, du respect des citoyens et du fonctionnement de la justice pour que celle-ci ne vire pas à la vindicte populaire ou publique.


Conclusion exécutive : A ma jeunesse. La sécurité, la liberté, le droit, la démocratie, la souveraineté, l’indépendance… ne se donnent jamais à aucun moment de l’histoire d’un pays ou d’un bloc géographique unifié. La jeunesse a intérêt à s’instruire de manière multidimensionnelle, première partie du combat et à se battre par combinaison de facteurs, de théories, de pratiques et d’expériences concrètes sur le terrain en vue de s’imposer en vecteur de redistribution des cartes politiques, socioéconomiques et stratégiques dans l’environnement, deuxième partie du combat.

Au monde. Une loi est tirée, à savoir : aux États-Unis un président, une guerre. L'équation paraît sans issue. La survie d’un pays, d’une nation, d’une région demeure dans l’équilibre avec grand E, non dans la constitution ou le maintien d’un empire ou d’une puissance militaire de violence ou encore d’une superpuissance militaire belliqueuse dont la manifestation tend toujours vers la domination et la guerre. Le dialogue des civilisations, l’échange entre des économies durables, les autocritiques de remise en cause des dogmes identitaires, ethniques, racistes, nationalistes, suprématistes, impérialistes… nous conserveront tous de l’éphémère fanatisme. L’inverse comporte le risque d’une populations auto-condamnée à la disparition par l’incontournable dynamique des forces.

 

ALEZA Sohou, Université de Lomé

 

 

 

Commentaires

  1. Waooo.... Mon professeur
    Mes respects

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    1. Merci pour votre réaction encourageante.

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  2. C'est exactement L'État le plus sombre, cruel, démoniaque du monde. Dénudé de toutes valeurs morales, mais c'est finit cette époque de guerres insensées, car la génération d'aujourd'hui n'est pas celle d'hier ; elle est bien plus qu'une lumières à éradiquer toute obscurité pour un monde égalitaire et juste. Les USA ne sont plus des USA; ils le seront dans la mesure où leurs richesses ne proviendrait de la sueur et le sang des autres nations.
    Je ne sais comment féliciter ou apprécier mon professeur ALEZA pour ses analyses éclairantes, enrichissantes et thérapeutiques. Que Dieu détenteur des cieux et de la terre vous bénisse abondamment.

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    1. Vos analyses additionnelles seront prises en compte. Merci beaucoup pour votre réaction encourageante.

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    2. Toutes mes félicitations ! Une analyse pertinente

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  3. Merci beaucoup de nous avoir ouvert l'esprit. Nous ferons preuve de conscience mon professeur.

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    1. Infiniment merci pour le temps donné à la lecture de l’article.

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