Nouveau souverain pontife élu : miracle ou signes annonciateurs concordants non aperçus ?
La méthode par laquelle un peuple ou une population se représente le divin par la religion et le concret par les sciences, les techniques et les arts détermine sa politique et son influence dans l’environnement. La foi, la démographie, la géographie, l’histoire, l’éducation… prédéterminent ainsi les réalités que nous constatons dans l’espace et dans le temps en mouvement.
Le pape François - photo I chef de l’Eglise
catholique est mort ; il faut le remplacer à la tête de l'Etat du Vatican et les pronostics allaient bon
train pour savoir quel cardinal allait lui succéder. Sans oublier certaines tentatives et tentations internationales d’immixtion
dans la procédure de succession du pape décédé.
Photo I : Le pape François
Source : capture d’écran via iPhone à partir de www.wikipedia.org, 10 mai 2025.
1 - Un conclave court que prévu, mais rappelant l’utilité de l'élection démocratique et libre dans une société sacrée ou profane
Le jeudi 8 mai 2025, veille d’un événement
mondial majeur très attendu, à savoir le grand défilé militaire du Jour de la Victoire
sur les forces nazies durant la Seconde Guerre mondiale sur la Place Rouge mythique de Moscou en Russie – photo II,
Photo II : Place Rouge à Moscou -Russie
Source : capture d’écran via iPhone à partir
de Russia Today -RT, 10 mai 2025.
nous avons eu plutôt et par surprise un nouveau souverain pontife parce que rapidement élu. Il s’agit de Robert Francis Prevost, devenu pape Léon XIV, donc chef de l’Eglise catholique universelle. Pour la circonstance historique, le processus et la procédure canonique de succession du pape François ont été scrupuleusement respectés.
Ainsi un conclave convoqué organisa un scrutin canonique pour l’élection du nouveau pape par ses pairs cardinaux. Les laïcs du monde pourront interpréter quelque chose non seulement de sacré ou religieux, mais aussi de profane : le manifeste de la démocratie. Pour rappeler que le choix du bon berger qui conduit par synode le peuple de Dieu, où l’intérêt général à distribuer de nature beaucoup plus morale que religieuse, passe nécessairement aussi par la valeur d’une élection démocratique. Si tel demeure le cas partout dans l’espace sociétal et surtout là où existe un État souverain bien constitué, la manifestation démocratique par suffrage universel devient d’autant plus indispensable et même de niveau d’impératif catégorique non négociable pour ce qui est de choisir ses dirigeants et ses institutions à tous les échelons de l'usage du pouvoir décisionnaire public. Encore qu’il s’agisse d’un enjeu d’intérêt général loin d’être uniquement moral, mais foncièrement matériel, c'est-à-dire de nature patrimoniale publique de l'État laïc à gouverner, administrer et gérer sous contrôle par la logique institutionnelle de la séparation des pouvoirs, cela au profit effectif des populations. La pratique de l’élection sincère, démocratique et libre caractérise une société avancée, digne et responsable. Tout ça dans le but de rappeler que l’élu, à la tâche du service public sacré -exemple du pape au service de l’Etat du Vatican ou profane -cas d’un président de la République au commande du pouvoir institutionnel d'un État quelconque, est une bénédiction; le non-élu usurpant les pouvoirs publics demeure une malédiction pour lui et son environnement. Dans un État sans élections démocratiques régulières, il devient évident que le non-élu reste à l’origine de toutes les souffrances humaines des populations, et la corrélation des forces s’imposeront toujours à son détriment.
Jusqu’à présent la stratégie politique pacifique du choix par vote des dirigeants ou même des outils institutionnels -comme une Constitution démocratique adoptable par référendum, des lois justes et règlements équitables à voter respectivement par une Assemblée nationale et un Exécutif, bref quel que soit le but de l’élection au moyen du vote des pairs comme électeurs - cas des cardinaux élisant le pape, ou au moyen du suffrage universel direct ou indirect pour l’élection, du président de la République, du député dans une Assemblée nationale, des diverses autorités représentatives des collectivités locales (maire, adjoints au maire, conseillers municipaux, membres du bureau exécutif du conseil de préfecture, conseillers préfectoraux, membres du bureau exécutif du conseil régional, conseillers régionaux…) apparaît encore incomprise dans certains pays. L’outil juridique qu’il soit constitutionnel, légal c’est-à-dire venant de la loi, organisant et emballant une élection quelconque, à lui seul ne garantit nullement le succès de la mission de l’élu. Ce dernier a besoin de la légitimité du peuple ou de la base populaire à gouverner, à conduire ou à diriger. L’élu doublement légitime et légal restera le bon berger (Jean 10, 11-17) et le non-élu toujours un loup ravisseur (Matthieu 7. 15).
Quoi qu’on dise, cela ne suffirait pas à convaincre le dictateur ou le méchant (Marc 7 : 21-22) dans son mépris mental de la vérité, de la science, de la connaissance, du droit, de la justice, de la vertu, des affaires transparentes de l’Etat et de l’honneur, cet individu à qui d’ailleurs le nouveau souverain pontife a déjà répondu : « le mal ne gagnera jamais ». Revenant sur l’élection du saint père, pape Léon XIV par ses pairs cardinaux ce jeudi 8 mai 2025 à 18 heure 8 minutes lorsque la fumée blanche apparut au sommet de la chapelle Sixtine, l’élu a reçu immédiatement l’approbation et la légitimité du peuple de Dieu à travers tous les continents. Le consensus catholique sur sa personne a conquis la planète entière. Les premières interventions du pape sont claires et rassurantes : n’ayez pas peur, n’ayons pas peur, que la foi revienne face à la civilisation de l’argent, du pouvoir, du plaisir, de la certitude de la technologie, etc…
2 - Miracle ou signes annonciateurs inaperçus?
Il convient maintenant de rappeler le contexte de coïncidence où quelques événements de convergence ont accompagné l’élection papale à l’insu des pronostiqueurs expérimentés et avérés lorsqu’il s’agit des prédictions des grands événements mondiaux. En effet, un alignement discret de planètes s’est opéré par observation empirique rétroactive des faits ayant conduit de manière étonnante à l’élection du pape Léon XIV. Tout commença le dimanche 20 Avril 2025 ; le pape François reçoit en ultime audience le vice-président américain James David Vance après la messe de Pâques -photo III.
Photo III :
Le pape François et JD Vance
Source : capture d’écran via iPhone à partir de Vatican News, 10 mai 2025.
Subitement ce lundi de Pâques 21 Avril 2025, le pape François décède. Les funérailles s’organisent le 26 Avril 2025 sur la place Saint-Pierre de Rome suivies de l’inhumation à la Sainte-Marie-Majeure de la ville de Rome aux mille basiliques selon moi après l’avoir par grâce personnellement visitée. Une dizaine de jours de deuil en l’honneur de l’illustre disparu marqua la période triste de la mort du pape François. Pendant le deuil et plus précisément le 3 mai 2025, le président américain -photo IV
Photo IV : Portrait officiel du président des États-Unis, Donald Trump
Source : capture d’écran via iPhone à partir de www.britanica.com, 10 mai 2025.
Photo V : Le président des États-Unis, Donald Trump déguisé en souverain pontife
Photo VI : portrait du nouveau pape élu, cardinal-évêque Robert Francis Prevost
Source : capture d’écran via iPhone à partir de www.metz.catholique.fr, 10 mai 2025.
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